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Mais si les critiques à l'égard de la politique européenne de la Pologne sont encore sans danger pour l'actuelle majorité, le gouvernement [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] Polonais ne devrait [url=http://www.waterhouselab.com/chaussuredefoot/]chaussure de foot[/url] pas la possibilité que se développent des attitudes de rejet à l'égard de l'Union européenne. Le risque est [url=http://www.msc-sahc.org/moncler.asp]doudoune moncler[/url] réel, surtout si les dirigeants européens continuent de l'Union comme ils l'ont fait, avec le concours avisé de la présidence polonaise, tout au long de la crise financière : en tenant davantage compte des marchés et des agences de notation que des peuples qui les ont élus.
Par les critiques que ce positionnement réaliste du gouvernement ne manquent de dans l'opposition, Donald Tusk est confronté à un troisième défi, celui de la politique intérieure. La décision polonaise de au renflouement des pays européens les plus endettés par le truchement du FMI a suscité l'ire [url=http://www.orlando-apts.com/nfljerseys/]www.orlando-apts.com/nfljerseys/[/url] des oppositions conservatrices. Le discours du ministre des , Radoslaw [url=http://www.orlando-apts.com/nfljerseys/]nfl jerseys[/url] Sikorski, à Berlin le 28 novembre 2011, dans lequel il pronon?ait un hommage vibrant à l'Allemagne, a entra?né une controverse publique sur le thème de la perte de la souveraineté polonaise. L'Europe, il est vrai, n'est pas un thème nouveau de la compétition politique en Pologne et la réaction des conservateurs était plut?t prévisible de la part du parti Droit et (PiS) de Jaroslaw Kaczynski, qui doit face à la concurrence de deux nouvelles formations conservatrices suite à des scissions successives.
Last but not least, la Pologne a globalement bien respecté le Traité de Lisbonne, qui réduit considérablement les marges de manoeuvre de la présidence du Conseil des ministres de l'Union européenne, désormais distincte de la présidence du Conseil européen (réunion des chefs d'Etat ou de gouvernement), poste actuellement occupé par M. Rompuy.
Elle est même parvenue à appara?tre, du moins publiquement, comme une présidence de compromis, réaliste et capable de au second plan ses propres intérêts. D'une pierre deux coups, les Polonais ont réussi à mentir leur réputation de trublions conservateurs qu'avaient incarnée sans pareil les frères Kaczynski, du temps de leur splendeur. Le premier ministre Donald Tusk s'est même payé le d'une reconduite de sa majorité lors des élections parlementaires du 9 octobre.
En attendant, elle bataille contre toute division durable et institutionnalisée de l'Union. On peut s' à ce qu'elle soit vent debout contre l'hypothèse d'un grand traité intergouvernemental qui exclurait certains pays membres. Seule la méthode communautaire trouve gr?ce à ses yeux dans les circonstances actuelles. A moyen terme, on peut également que les Polonais participent à des alliances de circonstance en fonction des enjeux et des contextes (avec les Britanniques sur le marché intérieur par exemple ou avec [url=http://www.waterhouselab.com/doudounemoncler/]doudoune moncler[/url] les Italiens et les Espagnols sur les fonds structurels) quitte à de fa?on pragmatique les regroupements de pays auxquels ils participent (Triangle de Weimar avec la France et l'Allemagne, Groupe de Visegrád avec la , la et la , voire zone non-euro).
Premier défi : défendre ses propres intérêts en conservant les bénéfices symboliques de sa présidence. S'agissant d'Europe, les gouvernements polonais ne sont pas connus [url=http://www.msc-sahc.org/moncler.asp]doudoune moncler pas cher[/url] pour leur langue dans leur poche. Quel que soit le gouvernement en place, les intérêts de la Pologne sont globalement les mêmes, même si le et le ton du discours sont très différents : farouche des fonds structurels, revendication d'une inflexion de la agricole commune pour qu'elle bénéficie davantage aux nouveaux pays membres, poursuite du partenariat oriental, primat de la sécurité énergétique sur les enjeux environnementaux, les dossiers conflictuels ne manquent pas. Comment à ses intérêts sans appara?tre à nouveau comme un obstacle au fonctionnement de l'Union ? Le défi n'est pas des moindres, ce d'autant que la Pologne peine à sa place au sein de l'Union.
, qui s'est achevée [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] le 31 décembre. Après les expériences désastreuses des présidences tchèques (2009) et hongroises (2011), la a montré que les anciens pays de l'Est pouvaient avec sérieux le travail de coordination et d'impulsion qui est attendu de la présidence du Conseil de l'UE.
Certes, tous ses objectifs n'ont pas été atteints mais compte tenu des limitations institutionnelles, de l'impact de la crise et de son poids objectif en , il aurait sans doute été difficile de plus et mieux. Et maintenant ? Redevenue membre ordinaire de l'Union, la Pologne est désormais délestée de toute contrainte de réserve : la voilà confrontée à trois défis de taille.
C'est le deuxième défi auquel elle doit répondre. La Pologne a-t-elle les moyens d'appara?tre comme un grand d'Europe, comme leader des pays non membres de la zone euro, comme le souhaiterait par exemple le parti agrarien, partenaire de coalition de ? Rien n'est moins s?r [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]www.rtnagel.com/louboutin.php[/url] et là n'est pas son intérêt. [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister pas cher[/url] Plus grand pays de l'Europe postcommuniste, bénéficiant d'un taux de croissance exceptionnel qui lui a permis de bien réagir à la crise de 2008, la Pologne est encore une petite puissance économique au budget fragile. Ses porte-parole n'hésitent d'ailleurs pas à la présenter comme un "pays pauvre" ! En éclipsant la présidence polonaise au profit du tandem franco-allemand, la a rappelé la fragilité de la position polonaise. Son intérêt consiste donc à [url=http://www.waterhouselab.com/louboutinpascher/]louboutin[/url] appara?tre comme le bon élève de l'Union européenne et à les meilleures relations avec son voisin allemand. Contrairement aux frères Kaczynski, le gouvernement Tusk voit en effet en l' la meilleure garantie contre le risque de marginalisation qui pèse sur les pays qui n'ont pas encore adopté l'euro. Officiellement, la Pologne poursuit l'objectif [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey prezzi[/url] d' la monnaie unique.
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