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Pour répondre à la crise, les Etats injectent des liquidités dans le circuit. L'injection de monnaie dans un système qui détruit son épargne crée de la richesse [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] car la destruction de l'épargne prouve des besoins non satisfaits. Inversement, l'accumulation de monnaie dans un système qui accro?t son épargne détruit de la richesse. On oppose à tort Keynes et Friedman sur ce point. Chaque principe monétaire, laxiste ou rigoureux, s'applique avec raison [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] selon que l'épargne diminue ou grossit. Le dernier rapport Migaud vient à point pour cette analyse. Les 36 milliards injectés dans l'économie fran?aise en 2009 ont produit le 1/3 en croissance. La différence, c'est la dette qu'il faudra .
La première raison tient à la répartition de la valeur ajoutée?:
Chaque banque centrale ne pourra rien résoudre seule. La monnaie est devenue mondiale. 4 000 milliards de dollars s'échangent chaque jour bien au-delà des échanges de biens et de qui ne concernent qu'une partie des 170 [url=http://cwc.hlbrc.cn/Review.asp?NewsID=847]Les jurys populaires une réforme inutile, coûteuse et contreproductive[/url] milliards de dollars de PIB quotidien. Le retrait [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] de monnaie dans une [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] zone économique vertueuse conduirait à une hausse des taux à ces économies et renforcerait leur monnaie. Les monnaies faibles qui n'ont plus d'inflation pourraient des fortes et les obtenant ainsi le double bénéfice d'un écart de taux de rémunération de l'argent et d'une revalorisation de leur placement. Alors que l'objectif numéro un des Etats est de du travail à leur , la vertu monétaire n'appara?t plus aujourd'hui comme une réponse appropriée aux besoins des Etats. Nous vivons désormais dans un Bretton Woods inverse où l'enjeu n'est plus d' une devise forte mais d' une devise se dépréciant plus vite que celle de son voisin... quitte à l' un peu plus. Dans cette guerre des monnaies, seul le regroupement des banques centrales en [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] un établissement unique et indépendant ainsi qu'une monnaie mondiale permettrait [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] de résoudre ce casse-tête où aucun pays ne veut rien l?cher. Keynes, décidément très avance sur son temps, en avait déjà émis l'idée avec le bancor, il y a soixante-cinq [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] ans.
Certains considèrent que la prochaine pénurie de , d'ici vingt à quarante ans, pourrait de à bon compte d'une situation d'endettement gr?ce à une inflation qui réduirait la dette à presque rien. Cette hypothèse nous para?t néanmoins peu réaliste, car l'échéance de cette pénurie est plus lointaine que la défaillance probable de [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] certains Etats, et la dette à refinancer le serait à un taux prohibitif. A court terme, le choix est donc simple. Il va réduire considérablement notre niveau vie, le ch?mage et les troubles sociaux. Une perspective certes peu réjouissante mais qui reste de loin préférable à la ruine générale des créanciers, c'est-à-dire de nous tous.
L'injection de monnaie permet de un temps – mais un temps seulement – notre niveau de vie. Les bulles finissent par éclater qu'il s'agisse d'un excès (épargne investie) ou d'un défaut de monnaie (dettes). Ces mouvements ont jusqu'à présent été contr?lés, mais ils deviendront à chaque [url=http://minowa-gekko.com/cgi-dir/bbs/joyful.1.cgi]giuseppe zanotti pas cher Mai[/url] fois plus durs à ma?triser car l'excès de monnaie recréera, en les amplifiant, chacune de ces bulles, ou d'autres. Et les dettes accumulées – comme les surinvestissements – deviendront autant de pertes supplémentaires.
Quoi qu'il arrive, le système finit toujours par un équilibre entre sa monnaie et sa richesse. Si nous parvenons à le gérer, il sera pénible à car chaque pays surendetté devrait alors à environ [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] 10 % de PIB. Mais il serait insupportable si nous devions le système seul son équilibre. Dans le premier cas, il faudrait 100 milliards sur un budget de 270 milliards en France, rien que pour la dette. Dans le deuxième cas, la défaillance des Etats – qui interviendra avant dix ans pour un certain nombre d'entre eux – supprimerait une quantité importante de monnaie ruinant les créanciers et provoquant une dépression majeure.
UNE PERSPECTIVE PEU R?JOUISSANTE
La deuxième raison provient du statut du dollar qui n'est plus conforme à son poids dans l'économie mondiale?:
A l'origine de cette création monétaire excessive, nous trouvons trois raisons principales :
un r?le fondamental dans ce véritable fléau que connaissent les principales économies. Jusqu'à la fin des accords de Bretton Woods en 1971, le dollar était lié à l'or. Le taux de change des monnaies permettait, par un moyen logique, d'en déterminer la contrepartie. Depuis cette date, les monnaies ne sont plus liées qu'à elles-mêmes de sorte que la plupart des grandes puissances économiques ont pu considérablement leur masse monétaire sans autre contrepartie que la confiance du monde dans l'économie de ces pays. Cette confiance para?t aujourd'hui menacée avec l'explosion des dettes souveraines.
Lorsqu'on observe l'évolution de la masse monétaire mondiale, on s'aper?oit que celle-ci s'est accrue au cours des quarante dernières années, et singulièrement les dix dernières avec les produits dérivés, nettement plus vite que la quantité de biens correspondante. Pour la seule monnaie fiduciaire, le bilan cumulé des banques centrales est ainsi passé de 5 % du PIB mondial en 1990 à 20 [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] % en 2008. L'excès de monnaie se retrouve alors soit dans la hausse des prix, qui caractérise la baisse de la valeur de la monnaie, soit en épargne stockée. L'évolution des prix étant sous contr?le, c'est dans l'accroissement de l'épargne que s'est réfugiée cette monnaie excédentaire. Toute créance alimentant une dette ou un actif en contrepartie, le monde croule aujourd'hui sous des dettes considérables et des actifs gonflés de fa?on non moins considérable.
L'épargne excédentaire est ce qu'il reste une fois que les besoins de ont été satisfaits. Il existe ainsi des agents économiques (Etats, [url=http://www.baojixb.com/viewthread.php?tid=19591&extra=]www.achbanker.com/home.php Attractivités[/url] entreprises, particuliers) bénéficiant d'un excédent de monnaie tandis que d'autres (Etats, , particuliers), souffrent d'un déficit de monnaie. Le débat sur la répartition de la valeur ajoutée devient alors très simple à . Pour l'offre de monnaie, à l'origine des bulles et des dettes, il convient donc de s'intéresser à la répartition de la valeur ajoutée à l'échelle mondiale, entre pays riches et pauvres d'une part, mais aussi au sein même des pays riches.
Enfin, la dernière raison tient au manque de gouvernance et de coordination des politiques monétaires?:
Le dollar représente aujourd'hui près de la moitié de la masse monétaire mondiale. C'est-à-dire qu'une action sur sa valeur aurait un effet immédiat sur la masse monétaire mondiale. Mais nous savons que cela n'est pas possible [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] sans le monde dans un [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] ch?mage considérable ni ceux qui commercent dans cette monnaie. Si l'on ne peut sur la valeur, il faut sur la quantité mais le monde n'est pas en mesure d' une telle mesure à la Fed qui d'ailleurs n'en voudrait pas car elle ruinerait les américains. La dite de "quantitative easing" pratiquée par les américains et qui consiste à marcher la planche à billets ainsi qu'à des bons du Trésor par la Fed au lieu de les financer par le marché, va à accélérer la chute du dollar et donc du Renminbi – la monnaie chinoise – qui lui est lié. Les déséquilibres du monde vont donc s' à l'.