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Cinquième championnat du "Big 5" européen, la de a longtemps fait l'objet d'un auto-dénigrement bien fran?ais. Il était facile de et des affiches comme Lorient-Sochaux ou Valenciennes-Nice pour se sur les chocs des grands championnats, Premier League anglaise ou Liga espagnole, là où courent les cadors du ballon rond. Aucun d'eux, argumentait-on, ne daignerait ses crampons dans un vestiaire hexagonal pour des raisons [url=http://www.mylnefieldanalysis.co.uk/barbour.html]barbour outlet[/url] pécuniaires et sportives.
Tenant de la Ligue 1, le PSG a été [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] moins dépensier que son nouveau rival, le promu monégasque, repris en décembre 2011 par le milliardaire russe . Le roi du potassium convoitait , il s'est rabattu sur le qui [url=http://www.rathmell-arch.co.uk/hollister.html]hollister uk[/url] profite de sa générosité : à ce jour, Monaco est l'équipe qui a le plus dépensé lors du mercato estival (146 millions d'euros, 30 millions [url=http://www.px.tsukuba.ac.jp/home/tcm/kyoshida/cgi-bin/postmail.cgi]jordan pas cher Navigateurs W[/url] de plus que Manchester City et le PSG). En recrutant, fin mai, le Colombien Radamel Falcao contre 60 millions d'euros, avait établi un nouveau record en France. Il a été battu, fin juin, [url=http://www.rivaluta.it/hot/hogan.asp]outlet hogan[/url] par le PSG [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler homme[/url] qui a enr?lé l' Cavani pour 4 millions supplémentaires. Ces deux superstars n'auraient hier jamais pris la direction de ce championnat. Mais l'arrivée en fanfare au PSG du géant suédois , en juillet 2012, a tout changé.
Cette période est révolue. [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] Depuis le rachat du (PSG) par le fonds souverain Sports Investments en 2011, la première division fran?aise est entrée dans une nouvelle dimension qui lui permet de financièrement les ligues les plus opulentes.
Les cas parisiens et monégasque peuvent-ils école ? C'est ce que peut penser l'exemple du Racing Club de Lens, au [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] bord de la faillite et sauvé in extremis par l'investisseur azéri Hafiz Mammadov. Menacé d'être rétrogradée en troisième division, le club a pu démarrer la saison avec le [url=http://www.mansmanifesto.com]www.mansmanifesto.com[/url] premier budget de (22 millions d'euros) et son retour dans l'élite. Depuis, plus d'un président rêve de s' les gr?ces d'un mécène étranger, amoureux du pays de Platini, et surtout prodigue.
Autant que la quasi-totalité de la Ligue 1 serait promise à de la figuration si la [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry outlet[/url] logique financière dictait la [url=http://www.buynflticketsonline.com]NFL Tickets[/url] sportive, ce qui n'est heureusement [url=http://bbs.qzx.gov.cn/forum.php?mod=viewthread&tid=3455301]giubbotti peuterey FFF Boghossian et Blaquart reçoivent un avertissement[/url] pas encore le cas. [url=http://www.menstrualrelease.com/forum/discussion/31985/hollister-france-are-adzzoo-google-claims-too-good-to-be-true]hollister france Are AdzZoo Google Claims Too Good To Be True[/url] En mai 2012, Montpellier, alors treizième budget de Ligue 1, a été sacré champion à la barbe du PSG qui disposait d'une enveloppe cinq fois supérieure.
ANOMALIE FRAN?AISE
Principal animateur du marché des lors des deux dernières saisons, le club de la capitale aura dépensé 365 millions d'euros pour étoffer son effectif et conquérir l'objectif avoué de ses propriétaires, la prestigieuse et médiatique européenne. Dans cette quête, on souhaite aux Qatariens plus de succès qu'au cheikh Mansour d'Abu Dhabi. Patron de Manchester City, il a déboursé depuis 2008 près de 700 millions d'euros qui ne lui auront rapporté qu'un de champion et une coupe d'Angleterre.
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C'est peu que les dix-huit autres clubs de Ligue 1 ne sont pas logés à la même enseigne. Eux observent les deux parvenus "se goinfrer" alors que la crise et les exigences de la Direction nationale de contr?le de gestion (DNCG), gendarme du foot fran?ais, leur dictent une cure d'austérité. Cet été, 80 % des dépenses en transferts de la Ligue 1 ont été le seul fait de Paris et de Monaco. Accaparé par la livraison de son nouveau stade, l'Olympique lyonnais, septuple champion de France entre 2002 et 2008, continue de se délester de ses plus gros salaires et mise sur [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] les jeunes de son de formation. L'autre Olympique, Marseille, fait des emplettes raisonnables sur le [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] marché domestique.
La Ligue 1 présente pourtant une structure financière plut?t saine, avec un endettement limité à 100 millions d'euros, une bagatelle en comparaison des 3 milliards du foot anglais et des 4 milliards de l'espagnol. Une vision optimiste des choses pourrait que le laxisme de ces deux championnats profite aujourd'hui à la France, à l'approche de la mise en place du "fair-play financier" voulu par l' de football association (UEFA) pour la saison 2013-2014. Le principe en est simple : un club ne pourra dépenser plus qu'il ne gagne, sous peine de sanctions ( des compétitions européennes). Il peut cependant être contourné par un contrat de sponsoring signé avec une entreprise appartenant à la maison-mère. comme c'est le cas pour le PSG avec Authority.
Plus que d'un rattrapage par rapport aux grands , il convient de de décalage, sinon d'anomalie fran?aise. Car le contexte ne se prête pas à cette débauche d'argent. Les droits télés de la Ligue 1 pour la période 2012-2016 ont baissé de 61 millions d'euros par rapport à la précédente, une chute partiellement compensée par la hausse des droits internationaux de 17 à 31,5 millions d'euros. Il en va de même pour les recettes de billetterie, avec l'espoir que la construction et la rénovation de stade pour l'Euro 2016 inverse la tendance. Le merchandising ne décolle pas. Pire, selon Frédéric Thiriez, président de la Ligue de football professionnel (LFP), les comptes des clubs vont être plombés par la taxe à 75 % à hauteur de 80 millions d'euros.