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UNE FORMATION PLURIDISCIPLINAIRE ET ATTRACTIVE
A la faculté de lettres, langues et sciences humaines de l'UPEC, il reste du travail : [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] seuls 26 % des élèves parviennent en licence dans les trois ans, contre 33 % sur le plan national. Cette université périphérique accueille 16,4 % de bacheliers professionnels, 25,3 % de bacheliers technologiques, soit des proportions parmi [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] les plus élevées de France.
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"ALLER AU-DEL? DE L'INCANTATION DES POUVOIRS PUBLICS"
En fait, les enseignants-chercheurs de cette université ont choisi de leurs efforts sur la première année, et même avant. Les classes terminales de six lycées du Val-de-Marne viennent à des cours, des étudiants et des enseignants.
UNE ?VALUATION PAR LES ?TUDIANTS
Une fa?on de les résultats bruts de son établissement. "En fin de troisième année de licence, le taux de réussite est de 76 %. Une minorité y parvient en trois ans, quand les autres mettent quatre ou cinq ans... Ce qui n'est pas si mal, ajoute la vice-doyenne, lorsque l'on sait que beaucoup ont besoin, en arrivant chez nous, de remises à niveau."
humaines ne veulent rien du bilan de l' aux étudiants, à laquelle ils consacrent beaucoup d'énergie.
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Une semaine de consolidation aide également à la révision de certains cours, même si elle n'est suivie que par une douzaine [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] d'étudiants. Enfin, le contr?le continu, sans examens couperets, et le travail en petits groupes, plut?t [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] que les cours magistraux en grand amphi, sont devenus la règle.
L'UPEC s'est lancée dans ce combat dès l'annonce du plan Réussite en licence. C'était en 2007, et Valérie Pécresse, alors ministre de l' et de la recherche, voulait par deux le taux d'échec, en cinq ans. Quelque 730 millions d'euros ont été dépensés par les universités, mais le bilan reste mitigé, comme l'a révélé la Cour des comptes en février 2012, puisque le taux de réussite global n'a non seulement pas été amélioré mais a [url=http://www.aurens.or.jp/~milk/joyful/joyful.cgi]nike air jordan pas cher Une [/url] même un peu régressé.
LE BAC PRO : DEUXI?ME VOIE D'ACC?S AUX ?TUDES SUP?RIEURES
Ensuite, un deuxième bloc sur l'interdisciplinarité, par exemple sur l'histoire ou la sociologie pour ceux qui sont inscrits en géographie. "Ce sont des cours magistraux sur des grands sujets qui donnent une ouverture et plaisent beaucoup aux étudiants. Comme quoi, il ne faut pas forcément les cours en am phi", remarque Jeanne-Marie Boivin, qui préfère ce qui marche que s'arrêter aux on-dit et aux incantations.
Malgré les efforts, le résultat est mitigé. Aussi, certains départements, comme celui des lettres, l'ont même abandonné, faute [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] d'étudiants volontaires. En revanche, la désignation d'un enseignant référent par groupe d'une vingtaine d'étudiants fait ses preuves, surtout lorsque son travail est coordonné avec celui de l'équipe pédagogique : "Nous envisageons même d'étendre ce système aux deuxième et troisième années", précise Mme Laborde-Milaa.
On est en janvier, et c'est leur troisième journée pédagogique. Un moment de mise en commun des expériences, toutes disciplines confondues. "Il s'agit d' au-delà de l'incantation des pouvoirs publics, d'accro?tre la réussite en licence", souligne [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] , doyen de la faculté. Et [url=http://www.insect-chong.com/forum.php?mod=viewthread&tid=4082&pid=20160&page=1&extra=page=1#pid20160]hollister sale Le biathlon français... à fond la[/url] à Créteil, on tire les le?ons du passé.
"Les étudiants apprécient ces cours, à condition qu'ils soient immédiatement mis en pratique et reliés à leur discipline. En histoire, par exemple, un travail sur César est l'occasion d'une recherche bibliographique ou d'un commentaire de tex te", constate Mme Laborde-Milaa. C'est une fa?on de reconna?tre que les enseignants ont, au fond, d? leurs pratiques en rendant les étudiants plus actifs.
Bien que lourd à gérer, cet accueil est plébiscité. Ceux qui s'inscrivent bénéficient ensuite d'une semaine d'intégration que "nous voulons encore améliorer pour en une semaine d'apprentissage", détaille Mme Laborde-Milaa.
D'ailleurs, lors de la journée bilan, elle s'interroge sur les apports réels de la pluridisciplinarité : "C'est un souhait des pouvoirs publics, mais, finalement, on n'a pas évalué ce qu'elle apporte." Sans doute sera-t-elle elle aussi bient?t passée au crible.
Enfin, le troisième bloc porte sur la discipline principale. Les cours de méthode doivent les étudiants à acquérir des techniques comme la prise de [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] notes, le travail en bibliothèque, l'utilisation des outils numériques, la rédaction de fiches, la préparation d'exposés oraux...
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Un tel [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] bilan n'est possible que gr?ce à l'évaluation faite par les étudiants, dont "l 'objectif est [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] d'améliorer notre pratique, pas de publics des avis, remarques, critiques sur des professeurs et leurs cours", précise Mme Laborde-Milaa.
"La progression de ces bacheliers est même fulgurante depuis 201 0", relève , vice-doyenne de la faculté chargée de la pédagogie. "E n 2007, nous n'avions que 5,4 % de bacs [url=http://www.matsue-yado.com/otoku/clip.cgi]moncler sito ufficiale CHARBO[/url] pro et 22,9 % de bacs techno. Le bac professionnel est désormais la deuxième voie d'accès aux études supérieures, derrière le bac génér al", remarque-t-elle.
Toutefois, nombre d'enseignants s'interrogent, comme , qui "regrette qu'on ne fasse pas des cours, pour nos pratiques pédagogiques". Si certains dispositifs fonctionnent bien, ce n'est pas le cas de tous. Et l'UPEC, avec son recul, est déjà revenu du tutorat dans lequel d'autres universités se lancent aujourd'hui.
L'idée d' aux professeurs une formation initiale ou continue à la pédagogie, comme le souhaite le ministère, soulève toujours beaucoup de résistance dans le supérieur. "En dépit de [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] multiples initiatives, la pédagogie n'est pas encore une préoccupation professionnelle", constate Gérard Boudesseul, sociologue intervenant lors de cette journée.
L'une des mesures les plus audacieuses a sans doute été de rénover le contenu de la formation pour la pluridisciplinaire et attractive. A Créteil, l'enseignement est découpé en trois blocs : d'abord, treize semaines de cours consacrés à la méthodologie du travail universitaire, à l'expression, aux langues et usages des techniques de l'information.
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