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jordan Quinze images qui ont choqué Dieu
PostPosted: Tue 17:56, 08 Oct 2013
xyrva0h5

 
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Benetton, , , les caricatures de Mahomet, La Dernière Tentation du Christ, , Costa-Gavras, Castellucci, ... Les ont toujours entretenu des rapports ambigus, pour ne pas hostiles, avec la représentation. [url=http://plyule.258club.com/viewthread.php?tid=1112&extra=]ugg pas cher Grégory Gadebois, poids lourd-léger[/url] Cette année, frappée par une inflation de scandales sur ce thème, détient sans [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] doute un record : depuis le mois d'avril, pas moins de cinq "représentations" du divin ont défrayé la chronique en France.
Après trois semaines de diffusion dans dix-sept salles parisiennes, seules deux salles poursuivirent la distribution. Les autres abandonnent la partie face aux actes de dégradation dont elles font l'objet. Des actes similaires sont commis dans d'autres villes fran?aises. Le Front national réclame pour sa part la destruction pure et simple des bobines.
L'argument est immédiatement réfuté par Costa-Gavras : "L'affiche correspond au problème posé par le film, qui est traité aussi par de nombreux historiens : celui de la responsabilité du Vatican, du fait de sa passivité lors du génocide des Juifs et des Tziganes par les nazis." L'Agrif est déboutée, le tribunal jugeant que "les catholiques, ou plus généralement les chrétiens d'aujourd'hui, [...] ne sont pas visés par l'éventuelle imputation diffamatoire".
Le de cette ?uvre de l' Cattelan (La Neuvième Heure) fait référence au moment de la mort du Christ. On y voit le pape terrassé par une attaque de météorites, victime de la colère divine. Deux responsables politiques polonais, la nationalité de Jean-Paul II, ont exigé que la scupture soit retirée de l'exposition au motif qu'elle n'était pas sur ses pieds. Mais comme souvent, la provocation se révèle lucrative : La Nona Ora s'est vendue 2,7 millions de dollars (hors frais) en 2004.

L'Union des organisations islamiques de France, la grande mosquée de Paris et la Ligue islamique mondiale (LIM) portent plainte. Le délit de blasphème n'exitant pas en droit fran?ais, ils s'appuient sur condamnant "l'injure envers un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée".

Ribes :
Le film présente un Jésus dans le doute, amoureux de Marie-Madeleine et cédant à la tentation. S'inspirant de La Dernière Tentation de l'écrivain grec , le réalisateur tente de la vie d'un Jésus tenté par l'humanité. "Ce qui m'a fasciné dans l'?uvre de Kazantzaki, c'est que Jésus y est présenté d'abord comme un homme qui souffre autant que nous tous. Bien qu'il soit le messie, il doit s' en un être humain pour pleinement nos épreuves", expliquait à l'époque Martin Scorsese.
La marque [url=http://mito-m-rc.com/cgi-bin/mitominami1409.cgi]hollister outlet sale B.A. in[/url] italienne annonce dès le lendemain le "retrait immédiat de l'image de toute publication". Insuffisant pour l'Eglise. Redoutant que l'image soit diffusée sur d'autres supports, le Vatican annonce à travers le monde. Plus prudente, la principale institution sunnite égyptienne "hésite encore pour si cela mérite une réponse tant ce n'est pas sérieux".
Lorsque le film de Jean-Luc Godard sort en salles, on retrouve encore l'Agrif au premier rang. Objet du courroux de l'association frontiste : l'affiche, sur laquelle on voit un ventre de femme, probablement enceinte de Jésus, s'offrant à la main d'un homme, au choix l'archange Gabriel ou son époux Joseph.
La et le Thé?tre de la Ville . Quelques jours plus tard, une vingtaine de fondamentalistes seront placés après jeté des boules puantes dans la salle aux cris de "christianophobie, ?a suffit !".
Le 30 septembre 2005, le quotidien danois Jyllands-Posten publie des caricatures de Mahomet. Sur l'une d'entre elles, la tête du [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] prophète est surmontée d'un turban en forme de bombe. Une colère sans précédent embrase le monde musulman. Des ambassades ont été prises d'assaut, des produits danois boycottés. Un an après, les spécialistes dans une vingtaine de pays, ainsi que des morts au , en Libye et en , où une église a été incendiée.
Jean-Pierre Mocky n'aime rien tant que la susceptibilité des croyants. Les petits anges sexués de l'affiche d'Il gèle en enfer lui apporteront entière satisfaction. L'Agrif réclame aussit?t son retrait. Elle est là encore déboutée.

Le Coran considère la représentation de Dieu et de tout être animé comme une "abomination". Mais l'interdit de la représentation du prophète a été constamment détourné en terre d'. La carte postale ci-dessous, qui représente un "jeune Mahomet", n'a cessé de en qu'en 2008, .
Les appels à la censure visent trois secteurs : la publicité, la presse et l'art. , et créer, trois libertés bien distinctes, rassemblées pour l'occasion sous un même chef d'accusation : le blasphème. Peine perdue, objecteront les rationalistes, puisque le délit de blasphème n'existe plus en droit fran?ais depuis la Révolution. Il n'empêche, à l'heure de la communication de masse, plus personne n'échappe à l'invasion des images, et les susceptibilités sont exacerbées.


L'Agrif saisit la justice et perd. "Elle est déboutée de sa demande de censure au motif que le film est exclusivement projeté dans les salles de cinéma, et ne peut donc des personnes qui n'auraient pas souhaité le voir", raconte Emmanuel Pierrat.
Eclairage :
Un an plus tard, le " des caricatures de Mahomet" s'ouvre. Sur le banc des accusés, le directeur de la publication, Philippe Val. Face à lui, Me Salah Djema?, conseil de la LIM, organisation basée en . "La Ligue islamique mondiale veut l'opinion [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] à la montée du racisme dans ce pays. On envisage de l'euro symbolique. La Ligue islamique mondiale ne fait pas ?a pour le fric. Le fric de M. Val est puant", lance-t-il. Philippe Val est relaxé.
A sa sortie en 1988, ce film de retra?ant la vie d'un Christ écartelé entre son humanité et sa divinité est victime de violentes attaques des catholiques intégristes de droite. Leur colère atteindra un point culminant avec l'incendie du Saint-Michel à Paris, dans la nuit du 22 au 23 octobre, qui fera plusieurs blessés, dont un à vie.
Le secrétaire général de Civitas, , salue l'intervention de ses troupes : "Jeudi comme vendredi, des jeunes gens issus de mouvements divers ont démontré qu'une belle jeunesse pouvait se pour défendre l'honneur du Christ à travers une grande réaction spontanée qui s'étendra, je l'espère, de jour en jour." Aux avant-postes de cette mouvance catholique intégriste se trouve un groupuscule, le , qui joue volontiers le r?le de "groupe choc" pour l'Institut Civitas.
L'interview de :
Eclairage :
"L'injure ainsi faite aux catholiques appara?t disproportionnée au [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] but mercantile recherché." Le péché est encore aggravé par " l'incongruité de la position du seul personnage masculin, présenté dans une pose équivoque", estime le tribunal. Le juge ordonne le retrait immédiat de l'affiche. L'affaire est portée devant la Cour de cassation. Le 14 novembre 2006, l'arrêt de la cour d'appel est cassé et l'association Croyances et libertés déboutée.

La couverture de l'hebdomadaire est barrée du "La quéquette à Jésus-Christ", allusion à une comptine enfantine qui se chantait jadis. La rédaction de Politis re?oit des menaces après la sortie de ce numéro et va se sous protection policière.
: compte-rendu du colloque de l'association à l'Eglise en détresse sur la "christianophobie" en Europe
Illustration ci-dessous avec une sélection de quinze images jugées blasphématoires qui ont choqué ces dernières années. On constate que l'écrasante majorité de ces scandales – à l'exception des crises récurrentes autour des caricatures de Mahomet – sont liés au christianisme. "Un auteur [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] s'intéresse en priorité à ce qui l'a traumatisé pendant son enfance. Les images scandaleuses en France sont donc majoritairement chrétiennes", explique , avocat spécialisé dans les affaires de censure et auteur de 100 Images qui ont fait scandale (Ed. Hoebeke, 2011).
Mais le blasphème et la représentation du divin, assimilés de longue date dans l'Occident chrétien, sont plus douloureusement vécus dans d'autres confessions ou [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin pas cher[/url] régions du monde, où [url=http://sc.easyes.cn/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=1601009]abercrombie soldes Pressure Washing Services Are Purposeful And Inexpensive[/url] ils n'ont pas valeur de tradition. Dans , Fran?ois B?spflug, dominicain, professeur d'histoire des religions à la Faculté de théologique catholique de l'université , revient sur le statut de l'image dans l'histoire des religions. Il rappelle que, parmi les religions monothéistes abrahamiques, la représentation du divin est une spécificité chrétienne. La caricature religieuse est quant à elle une tradition européenne depuis la fin du XIXe siècle. Elle n'en constitue pas moins, à l'échelle des siècles, une situation tout à fait "insolite dans l'histoire des civilisations".

En 1992, met en scène un jeune couple formé d'un prêtre et d'une nonne se donnant un parfaitement profane. La campagne, baptisée "Kissing Nun", est censurée en France et en . Ironie de l'histoire, elle re?oit au le prix Eurobest, qui récompense les meilleures créations publicitaires européennes.
Lire :

Celle-ci est inspirée par la peur de Dieu que l'auteur espagnol a connue quand il était enfant. Elle a été joué à Madrid, puis à Rotterdam et à Graz, sans d'incident. Elle est programmée à Paris du 8 au 17 décembre.
Par solidarité, 150 journaux dans une soixantaine de pays reproduisent les caricatures. A la suite de France-Soir et de journaux allemand, italien, espagnol, belge ou même égyptien, Charlie Hebdo décide de les caricatures dans son édition du 8 février 2006.

"Une réaction des autorités officielles chrétiennes est devenue un phénomène rare, explique Emmanuel Pierrat. La dernière fois que l'épiscopat fran?ais avait réagi à une image, c'était la photo de La Cène [voir ci-dessous], contre laquelle une plainte avait été déposée. Depuis vingt ans, on assiste plut?t à des opérations coups de poing ou des actions en de groupuscules fondamentalistes comme l'", l'Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l'identité fran?aise et chrétienne, proche du , ou l', des catholiques traditionalistes et intégristes proches de l'extrême droite.
Les têtes des caricaturistes sont mises à prix, 100 000 dollars par , 1 million de dollars et une voiture de la part d'un dignitaire musulman pakistanais. Plusieurs attentats terroristes visant les satiristes sont déjoués.
Quelques jours avant la parution d'un numéro spécial intitulé "Charia Hebdo", dont la couverture circule déjà sur le Net mais que personne n'a encore eu le loisir de , le siège de l'hebdomadaire satirique est d'origine criminelle. Une semaine plus tard, Charlie retrouve le chemin des kiosques avec un en forme de french kiss.
Découvrant les affiches qui annoncent la sortie du film de Costa-Gavras, l'Agrif assigne en référé le producteur, le réalisateur et le distributeur afin d' l'interdiction de l'affiche sur la voie publique. Elle estime que, pour des raisons mercantiles, cette image constitue "une offense gratuite, inutile et publique aux sentiments religieux les plus respectables", raconte Emmanuel Pierrat.
Tribune :

Eclairage :


Des centaines de militants d'Institut Civitas manifestent leur colère devant le musée d'art contemporain privé d'Avignon pour contre l'exposition d'une photographie de l'artiste new-yorkais afro-cubain Andres Serrano, Piss Christ. Une poignée d'entre eux s'introduit dans?l'établissement et . L'?uvre, qui représente un crucifix plongé dans un verre d'urine, n'est pourtant pas nouvelle : elle date de 1987. Critiquée à chacune de ses apparitions par les évangélistes protestants américains, elle avait été exposée il y a deux ans au Pompidou sans de bruit. L'artiste, Serrano, se décrit comme croyant et "fasciné" par la foi catholique.
L'association catholique Croyances et libertés, qui représente l'épiscopat fran?ais, porte plainte. Les créateurs perdent en première instance puis [url=http://www.achbanker.com/homes.php]hollister france[/url] en appel, le juge ayant qualifié l'affiche d'injure faite aux chrétiens, rapporte Emmanuel Pierrat.
Il ne s'agit évidemment pas d'un délit de blasphème, ou alors , ce délit étant banni du code pénal depuis plus de deux siècles : le délit d'outrage au drapeau fran?ais, prévu par du code pénal, a été voté en 2003 à la suite du match de foot France- au cours duquel La Marseillaise avait été sifflée. Au pays de la la?cité, le tabou des symboles républicains a remplacé, accidentellement, celui du divin. "On se rapproche d'une situation à l'américaine, où on peut blasphémer tant qu'on veut, mais où il est interdit de br?ler le drapeau national", souligne Emmanuel Pierrat.
Le 20 octobre, des membres d'Institut Civitas interrompent la représentation qui se tient au Thé?tre de la Ville à Paris. La pièce met en scène un père et son fils affrontant ensemble la déchéance de l'?ge, sous le regard d'un portrait géant du Christ peint par .
Marithé et Fran?ois Girbaud, créateurs de vêtements, réalisent un pastiche de La Cène de Léonard de Vinci. La mise en scène chiffonne l'Eglise : les onze ap?tres, ainsi que le Christ, sont remplacés par de ravissantes jeunes filles.
Analyse :
"J'ai honte de présenter une ?uvre d'art protégée par des mesures de sécurité." C'est par ces mots que s'est ouverte la première représentation de Golgota picnic, de , le 16 novembre, à Toulouse ( le du Monde, accès payant). Devant le Thé?tre Garonne, les forces de l'ordre canalisent les manifestants de l', venus contre une pièce qu'ils jugent "blasphématoire".
L'Eglise, elle, prend ses distances avec les intégristes. Le président de l'assemblée des évêques, Mgr André Vingt-Trois, demande aux catholiques de ne "pas se dans une forme de débat où l'Eglise se défendrait elle-même comme un groupe minoritaire". Il dénonce les méthodes d'"un groupuscule lefebvriste qui fait de la foi un argument de violence".
Cinq militants de l'Agrif sont arrêtés et condamnés à de la prison avec sursis et à 450 000 francs de dommages et intérêts. Ce qui n'empêchera pas l'association de le concept de "racisme antichrétien" pour de détourner la législation antiraciste au service de la lutte contre le blasphème.
Le blasphème, objet de toutes les incompréhensions, ici comme ailleurs. publiée en France, signée notamment par et les "Indigènes de la République", dénonce l'"anticléricalisme primaire doublé d'une obsession islamophobe" [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] du magazine satirique. Ses auteurs affirment que le blasphème existe bel et bien en France : "Les le?ons de tolérance adressées par l'élite blanche aux musulmans, présumés coupables de l'incendie, sont pour le moins malvenues puisque, contrairement à ce qui se dit et se répète, le délit de blasphème existe en France : depuis les lois Sarkozy de 2003, de très lourdes amendes et peines de prison sont prévues contre toute 'offense au drapeau ou à l'hymne national'."
Un peu plus d'un an après sa création, l'hebdomadaire Politis publie un dossier consacré aux abus de la restauration des ?uvres d'art, "qui s'attarde naturellement sur les dérives pudibondes de l'Eglise catholique, une experte en la matière", relate Emmanuel Pierrat. En couverture, un magnifique exemple de ces agissements : un Christ nu de Michel-Ange, dont les autorités cléricales avaient exigé que le sexe f?t dissimulé derrière un de bronze.
Tribune : , par

Mais des initiatives et des déclarations diverses laissent appara?tre des divergences au sein des autorités officielles. Certains évêques, comme celui de Vannes (Morbihan), Mgr Centène, ou de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques), Mgr Aillet, soutiennent les manifestants parisiens.

Une nonne enceinte déguste une glace à l'intérieur d'une église. Un slogan : "Con?ue de manière immaculée". Cette campagne de publicité pour une marque de glace italienne est destinée au marché britannique, pays dont la majorité des habitants sont anglicans (protestants). Mais "elle n'est pas du go?t de tous les amateurs de glaces", relate Emmanuel Pierrat. Des plaintes affluent en direction de l'Autorité de régulation de la publicité britannique. Celle-ci décide d' les photos, jusque-là parues dans la presse essentiellement féminine, au motif qu'elles portent atteinte aux valeurs des catholiques.
L'Agrif, dirigée par l'ancien député européen du Front national , porte plainte. Elle est déboutée. "Ces groupuscules étaient dispersés pendant quelques années. Ils sont aujourd'hui réunifiés, non pas sous la banière de l'Eglise catholique, mais du Front national", explique Emmanuel Pierrat.
Aucune violence n'est constatée aux abords du [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] thé?tre, entre les membres de l'Institut et ceux, deux fois plus nombreux, qui manifestaient leur soutien à la pièce. Trois élus radicaux de gauche de la ville ont cependant tenu, "au nom de la la?cité", la "démarche provocante" de la pièce, jugeant que "les subventions publiques ne doivent pas à ce genre de spectacle".
L' n'a pas permis d' les auteurs de l'attentat. Mais leur acte a porté au-delà des frontières de l'Hexagone. Dans les jours qui suivent, une centaine de salafistes manifestent devant l'ambassade de France au Caire pour contre le journal satirique. Des groupes djihadistes appellent les musulmans d', de et de à "manifester pour réclamer à leurs dirigeants de leurs relations avec la France". Ils demandent que le blasphème [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] soit "condamné par la loi".
Benetton est un habitué des campagnes choc ( l'affiche de 1992 plus bas). Sa , diffusée le 15 novembre, met en scène, parmi d'autres "couples" [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel[/url] célèbres, le Beno?t XVI embrassant l'imam de l'université Al-Azhar du Caire, la plus haute autorité sunnite égyptienne, .

Les intégristes maintiennent la pression en organisant des manifestations devant les cinémas qui programment le film. "A Nantes, [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] un sit-in organisé par les défenseurs de la foi, qui se rassemblent pour pendant chaque séance du film, tourne à l'affrontement avec quelques punks facétieux venus défendre la liberté d'expression à coups de seaux d'eau et de boules puantes", poursuit-il.
Fait rare, le photomontage fait aussit?t réagir les plus hautes autorités de l'église catholique. Le porte-parole de la Conférence des évêques de France, Mgr , y voit "un buzz assez indigne". Le dénonce "une utilisation inacceptable de l'image du Saint-Père, manipulée et instrumentalisée dans le cadre d'une campagne publicitaire à des fins commerciales".


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