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Cette idée que la solution viendra des deux adversaires est une faribole. Dans aucun conflit de cette nature, quand pèsent l'histoire, la force des sentiments [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] nationaux et [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] le des morts, il faut un parrain, capable de le bras des uns et des autres. Laissés à eux-mêmes, Israéliens et Palestiniens n'ont que trop prouvé qu'ils étaient incapables de la paix. Observateur éclairé et informé, , ex-ambassadeur d'Isra?l en France, le dit dans Marianne : la paix viendra de Washington. D'abord de Washington.
L'agrandissement constant des implantations a un double effet. Le premier est [url=http://www.aqshyx.com/E_GuestBook.asp]barbour uk[/url] de chaque jour moins plausible la solution dite "des deux Etats" : la création d'un Etat palestinien en Cisjordanie, à Gaza et dans la [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] partie orientale de Jérusalem, qui vivrait en paix aux c?tés de l'Etat d'Isra?l. Le deuxième est de la légitimité et la crédibilité de ceux des Palestiniens qui, comme le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, et son premier ministre, Salem Fayyad, ont tout misé sur cette solution. Au sein [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/‎]hollister pas cher[/url] du mouvement national palestinien, la faction qui monte, c'est la branche islamiste, le Hamas, ceux qui n'ont renoncé ni à la lutte ée ni au fantasme de un jour "toute la Palestine".
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Parmi une longue série de vérités déplaisantes, on en isolera [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] trois, qui nous paraissent au coeur de la tragédie en cours.
Le développement des implantations en territoire palestinien est au coeur de leur programme. Les nouvelles, et jeunes, têtes de liste du Likoud, le parti de Benyamin Nétanyahou, tout comme la formation ultranationaliste Beitenou constituent un seul et même camp : le "parti des colons" - groupe de pression puissant, présent dans l' et dans l'administration, bref, au coeur de l'Etat.
suscite le désespoir. Ce n'est pas nouveau ; cela devient la norme - lendemains de Gaza ou pas. On veut bien considérer que le conflit israélo-palestinien est encore "jeune" : bient?t 65 ans tout de même ! On se refuse à le plus noir des [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] pessimismes. Après tout, on est en terre de miracles. On est disposé à toute approche par trop simpliste et à s' le "y a qu'à" [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] dans une confrontation aussi complexe.
Ce temps est fini. "L'honnête courtier" n'est plus. Qui faut-il ? Effet à retardement des attentats du 11 septembre 2001, poids sans cesse plus important des fondamentalistes chrétiens dans le parti républicain - [url=http://www.hikima-clinic.com/cgi-bin/aska/aska.cgi?ref=4472]barbour outlet Les Facebook [/url] ils pensent que la juda?sation de la Cisjordanie accélérera le retour du Messie -, hésitations, revirements et errements d'une direction palestinienne mal assurée ?
2. Les Etats-Unis ne jouent plus le r?le de médiateur.
C'est une vraie rupture dans l'histoire récente de ce conflit. Elle est [url=http://www.hbjinluban.com/thread-54030-1-1.html]hollister france Is It Possible To Die From Anxiety Attack[/url] peut-être l'une des composantes-clés du pourrissement actuel. Depuis la fin des années 1970, Washington s'est efforcé de le r?le "d'honnête courtier" (honest broker) entre les protagonistes. La sympathie naturelle, profonde, qu'éprouvent les Américains pour Isra?l n'empêchait pas le sentiment, à Washington, qu'il fallait le chemin de la paix avec les Palestiniens.
Chez les Israéliens, la droite au , celle qui se présente unie pour les élections du 22 janvier 2013, [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] se radicalise. Peu importe, ici, les raisons de cette droitisation, qui sont multiples, intérieures et régionales. Son impact est net. L'écrasante majorité des militants, des élus, voire des dirigeants de ces deux formations est opposée au moindre compromis territorial en Cisjordanie, pour ne pas de Jérusalem.
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3. Les négociations directes n'ont jamais donné de résultat.
Il n'y aurait pas eu de paix israélo-égyptienne sans la ténacité de Jimmy ; pas de processus d'Oslo, entre Israéliens et Palestiniens, sans Bush père et Bill Clinton. En Asie, les Etats-Unis considèrent comme [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] normal que des petits pays sollicitent leur médiation pour éviter de négocier seuls face à la . Et, pour la même raison, la disproportion des forces en présence, les Etats-Unis ont longtemps compris la volonté des Palestiniens de les à leurs c?tés face à Isra?l. Plus aujourd'hui.
On veut espérer que le vote, jeudi 29 novembre, à l'ONU, servira d'électrochoc : l'Assemblée générale s'apprête, geste symbolique, à reconna?tre la , en tant qu'"Etat observateur non membre" (saluons l'infinie créativité des juristes !). Mais, là-bas, sur le terrain, entre Israéliens et Palestiniens, tout va dans le mauvais sens. Les indicateurs sont au rouge, annonciateurs d'un nouveau drame. Tout confirme une sorte de malédiction qui s'acharnerait à les modérés.
De Jimmy à - qui, le premier à la , parle de "foyer national palestinien" [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] -, [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] de George H. W. Bush à , tous, démocrates et républicains, balisent une route qui, petit à petit, conduira les Etats-Unis à une médiation active : reconnaissance de l'OLP, puis de la nécessité d'un Etat palestinien. Cette intervention - qui, encore une fois, ne ralentira pas une coopération militaire croissante entre Américains et Israéliens - était souhaitée par les Arabes et, plus particulièrement, par les Palestiniens.
L'idée que la situation est gelée en attendant une éventuelle reprise de négociations est un dangereux mirage. La situation évolue, dans le mauvais sens.
Elle a conduit les Etats-Unis à des pressions multiformes sur les deux protagonistes, à les uns et les autres. Pour le premier ministre Itzhak Shamir à aux conversations de paix de Madrid, à l'automne 1991, le président Bush, le grand, le père, n'hésite pas à la garantie des Etats-Unis à un certain nombre de prêts bancaires à Isra?l.
Ni Jr ni ne s'impliqueront sérieusement dans la médiation proche-orientale. Le dossier est [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] en jachère depuis douze ans - ce qui revient à une approbation de la politique des implantations. Là encore, il n'y a pas de statu quo, mais une régression du r?le des Etats-Unis. Ils se réfugient derrière une formule incantatoire : la paix ne peut que des deux parties concernées.
1. Il n'y a pas de statu quo.