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woolrich outlet Le débat public sur la fin de vie
PostPosted: Tue 14:05, 29 Oct 2013
xyrva0h5

 
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Regrettant l'absence d'un auditoire plus large, un intervenant souligne : "N'oublions pas que la vie est la première des maladies incurables. Zéro survivant. Cela nous concerne tous." Un représentant d'une association de malades explique organisé récemment un débat sur la fin de vie dans un village de 4 000 habitants du Haut-Doubs : "23 personnes se sont déplacées. Le lendemain, un débat s'est tenu. Cette fois, il était intitulé ' est une chance' : 130 personnes sont venues. Quelques jours plus tard, un salon du vin était organisé : il y a eu 2 300 participants. C'est si les questions de fin de vie intéressent."
A l'issue de cette journée, deux sujets font consensus : le besoin de pédagogie, tant [url=http://www.fibmilano.it]woolrich outlet[/url] vis-à-vis des citoyens que des professionnels, et la nécessité de le débat, car chaque question posée en soulève de nouvelles. "Il ne faut surtout pas de réponses trop rapides, estime Régis Aubry, qui émet un v?u [url=http://www7a.biglobe.ne.jp/~hirock/cgi-bin/joyful/joyful.cgi]barbour online shop The Simpl[/url] : surtout, surtout, que la loi ne vienne pas avant le débat public." Aux Pays-Bas, la dépénalisation de l'euthanasie en 2002 a été précédée de 20 ans de débat public. La mission Sicard, elle, a 3 mois pour son rapport. Nul doute qu'elle ouvrira plus de questions qu'elle n'apportera de réponses.
A mi-parcours de cette consultation nationale, le professeur Régis Aubry, directeur de et membre de la mission Sicard, estime que l'objectif de sérénité est atteint – "chacun a pu s' et débattre sur des questions extrêmement complexes", avance le directeur de l'unité douleur-soins palliatifs du CHU de Besan?on –, mais celui d'une participation plus large au débat relève encore du défi. En grande majorité, les participants à ces journées sont des soignants, accompagnants bénévoles ou militants du droit à sa mort et traitent dans leur quotidien de la fin de vie.
"LA VIE, PREMI?RE DES MALADIES INCURABLES"
Etonnamment, le terme euthanasie est quasi absent des débats. Par pudeur ou par crainte de un mot qui suscite les passions, les intervenants évoquent plut?t les "demandes de mort" des patients, sans s' dans le débat sur la fa?on d'y répondre. C'est le professeur Régis Aubry qui relance les participants sur l'euthanasie, en évoquant les législations étrangères, aux , en Belgique ou dans l'Etat de l'Oregon, aux Etats-Unis, qui a légalisé le suicide assisté en 1997. Mais la salle parle d'autres problèmes : les tensions dans les familles, les difficultés que rencontrent les professionnels, le manque de structures adaptées, la nécessité de créer de nouvelles solidarités quand les familles se disloquent, que le vieillissement s'accro?t, ou que les enfants partent parfois avant les parents.
Consulter le sur le site du ministère de la santé
Dans un des ateliers, une participante évoque le cas de Fran?ais qui partent à l'étranger, en ou en notamment, pour avec assistance : "Il faut en les moyens. Cela crée une inégalité face à la mort sur notre territoire." Mais face à un groupe majoritairement hostile à toute active à , cette adhérente de l'Association pour le préfère ne pas trop sur le thème du [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] suicide assisté.
Cette consultation itinérante sur la fin de vie a le mérite [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] de que la question déborde largement le débat médiatique sur l'euthanasie. Au point parfois d'être trop prudente sur cette question ? Patrick Bontemps, médecin cancérologue, [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] également élu au Conseil régional de Franche-Comté, regrettera en fin de journée que la mort assistée ne soit pas davantage au c?ur des échanges, alors que de plus en plus de ou films posent cette question. "J'y vois peut-être un décalage entre cette assemblée et le reste des citoyens", analyse-t-il.
UN D?BAT ENCADR?
un débat vraiment citoyen [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] et démocratique sur une question aussi délicate que la ? Ce dilemme a traversé toute la journée de rencontres organisée?sur le sujet à Besan?on, mardi 30 octobre, avec un constat : il est difficile d' des personnes qui ne viennent pas des milieux médical, sanitaire ou sur ces questions. "Il y avait des personnes inscrites comme 'lambda' qui masquaient des professionnels. Et des personnes qui se présentaient comme des professionnels qui masquaient des [url=http://bbs.rfxt.com.cn/home.php?mod=space&uid=105121][/url] 'lambda'", résume une participante. Car quand [url=http://www.fibmilano.it]woolrich[/url] il est question de mort, le discours intime se mêle au discours social ou professionnel.
Besan?on est l'une des dix étapes du "" que le professeur Didier Sicard, à qui a confié en juillet une mission de réflexion sur la fin de vie, entreprend cet automne pour toutes les questions posées par les citoyens et définir les contours d'un vaste débat public. L'objectif affiché par cette courte mission, dont le rapport sera rendu le 22 décembre, est de de la parole des experts et des "sachants", traditionnellement consultés sur ces questions, pour à la rencontre d'une parole plus ouverte, et par la suite d' un débat plus serein.
D'autant qu'à Besan?on, le débat était davantage cadré que dans d'autres villes : il se tenait en semaine, et non les week-ends comme tous les autres débats, et il nécessitait de s' plusieurs jours à l'avance à des ateliers qui se sont tenus à huis clos. La centaine de participants, tous issus des milieux associatifs ou professionnels, étaient répartis par groupes de onze à vingt-cinq dans cinq ateliers sur des thèmes spécifiques : "Comment les souhaits réels des personnes qui vont ?" ; "Quelle valeur aux directives anticipées concernant les personnes qui ne peuvent leur volonté ?" ; "Quelles sont les alternatives au maintien à domicile ou à l'hospitalisation ?" Pas de médiateur, à chaque groupe [url=http://www.shewyne.com/woolrichoutlet.html]woolrich outlet[/url] de gérer les échanges pendant un peu plus de 2 heures et de désigner un rapporteur qui en restituerait les contenus dans l'après-midi en séance plénière.
L'EUTHANASIE, UN TERME PEU DISCUT?
Lors de ces restitutions, certains [url=http://www.riad-marrakesh.fr]abercrombie[/url] doivent se violence, des positions qui ne sont pas les leurs, en avant les sujets qui ont f?ché. Une rapporteuse d'un des ateliers évoque le regret que les directives anticipées formulées par des patients ne soient pas toujours respectées par le corps médical. Un autre participant précise aussit?t : "En fait, il y avait deux positions dans notre atelier : l'une pour que les directives soient strictement appliquées, et une autre, largement majoritaire, soulignant que la volonté d'un patient peut évoluer et qu'il y a un risque à les systématiquement." Un accompagnant bénévole témoigne : "Certaines personnes peuvent envie de le matin, mais si dans la journée, on prend le temps de déjeuner [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] et du temps avec elles, l'envie de à l'emporte ; et puis [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] le soir, avec le retour des angoisses ou des douleurs, le souhait d'en revient."
Lire un? et un? à Strasbourg le 22 septembre
"Dans cette salle, nous recueillons la parole de tous ceux qui interviennent auprès des personnes en fin de vie, mais nous n'entendons pas la voix de ces dernières", s'étonne encore un bénévole du réseau d'accompagnement (Jalmalv). Les représentants de la mission Sicard acquiescent et soulignent qu'il faudrait se déplacer dans [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] les unités de soins palliatifs, dans des établissements pour personnes ?gées et dépendantes ou [url=http://www.panchu-musume.com/bbs/simipan/joyful/joyful.cgi]hollister Sale On Uggs Custom[/url] à domicile.
Régis Aubry reconna?t que le public est orienté, mais loue la qualité des échanges. "Toutes les opinions exprimées seront dans notre rapport. Notre effort est de thématiser, catégoriser ces échanges pour les bases d'un débat public." Et malgré une [url=http://www.sidegemeinde.com/peutereyoutlet.php]peuterey sito ufficiale[/url] forte présence de soignants dans l'auditoire, le professeur retient de cette journée d'échanges une forte méfiance envers la comme institution.


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