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Alors que les compagnies avaient beaucoup plus difficilement supporté les précédents emballements des cours de l'or noir, ce discours - qui relègue au second plan les effets des plans d'économies mais aussi la persistance d'un niveau de croissance non négligeable - permet à l'IATA de en valeur ses revendications. A l'encontre des grandes firmes pétrolières, coupables de beaucoup trop cher les dont les compagnies cherchent à développer l'utilisation. Ou à l'endroit des [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] pouvoirs publics, accusés d' la croissance et l'activité du secteur. Très remontée contre le projet de l' visant à des quotas de CO2 établissant des "permis de polluer" (Le Monde [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs/epad.cgi%3Fmode%3Dview%26no%3D1118664%26res%3D1%26page%3D400]moncler pas cher Paradis fisc[/url] du 7 juin), l'IATA se plaint également des taxes instaurées ces derniers temps par de nombreux gouvernements en (, , ), mais aussi [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler[/url] en .
profitables - même a [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] minima - malgré les vents contraires ou se en victimes de la hausse des cours du , des événements géopolitiques ou des catastrophes naturelles ? L'Association internationale du transport aérien (IATA) a choisi la seconde option. Cette organisation, dont les membres représentent 90 % du trafic aérien mondial, a consacré sa réunion annuelle, qui a pris fin, mardi 7 juin, à , à l'inventaire de ses difficultés.
Pourtant, le [url=http://www.achbanker.com/homes.php]hollister france[/url] secteur aérien fait preuve d'une réelle capacité de résistance. "Les gains de rentabilité réalisés au cours de la décennie passée et l'amélioration de la situation économique permettent de le co?t élevé du pétrole", a admis Giovanni Bisignani. Le directeur général de l'IATA, qui cédera sa place à Tony Tyler, ex-dirigeant de Cathay Pacific, le 1er juillet, préfère sur l'insuffisante profitabilité d'un secteur qui, "avec des marges limitées à 0,7 %", dispose "de peu de protection contre des chocs éventuels".
Enfin, pour les représentants du transport aérien, il s'agit également de un discours unificateur face aux fortunes diverses que rencontrent les compagnies en fonction de leur région d'origine. En 2011, les opérateurs de la zone devraient être relativement épargnés, avec des bénéfices prévus [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] de 2,1 [url=http://xcjtgc.com/guestbook.asp]hollister[/url] milliards de dollars (1,4 milliard d'euros), gr?ce à la forte croissance du trafic en Inde et en . En revanche, les autres compagnies devraient être plus exposées, y compris celles du Moyen-Orient. Mais il n'y a qu'en Afrique que le secteur aérien devrait des pertes sèches en [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] 2011.
"Les catastrophes naturelles au , les troubles au Moyen-Orient et en , auxquels s'ajoute la forte hausse des prix du pétrole, ont réduit considérablement les prévisions de profit", a martelé le directeur général de l'IATA, Giovanni Bisignani. Pour l'ensemble des compagnies, les bénéficies attendus en 2011 ne devraient [url=http://www.turtle.or.jp/CGI-BIN/aska.pl/otto/kreger/dzhenet/tiuson/aska.pl%2BResult]louboutin pas cher Le Crédit [/url] pas dépasser 4 milliards de dollars (2,7 milliards d'euros). Début mars, avant le tremblement de terre et la catastrophe de Fukushima, au Japon, l'IATA tablait sur 8,6 milliards de dollars (5,9 milliards d'euros).
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En fait, cette dégradation tient surtout au renchérissement des cours du pétrole. L'Association a revu à la hausse de 15 % (de [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] 96 à 110 dollars) son estimation relative au prix moyen du baril pour [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] l'année 2011. Dans ces conditions, la facture de carburant de l'ensemble des [url=http://www.ilyav.com/isabelmarant.php]isabel marant sneakers[/url] compagnies aériennes devrait s' de 10 milliards de dollars (6,8 milliards d'euros) à 176 milliards. Soit près de 30 % de l'ensemble des co?ts du transport aérien, plus [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin[/url] du double de ce que la facture énergétique représentait il y a dix ans. Jamais à court d'un chiffre choc, l'IATA souligne que 1 dollar supplémentaire enregistré sur le cours du brent engendre une dépense supplémentaire de 1,6 milliard de dollars (1 milliard d'euros).